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yasmina & jad yasmina & jad bienvenue sur mon blog accueil a propos une coccinelle envahissante créé par jetaime le 03 oct 2006 | dans : sciences la coccinelle asiatique ne supporte l’hiver québécois qu’à l’intérieur des maisons : une cohabitation difficile avec les habitants. la coccinelle asiatique, harmonia axyridis , est installée au québec depuis 1994. a l’inverse de ses consœurs d’ici, elle passe l’hiver québécois à l’intérieur des habitations. et ça cause de plus en plus de problèmes pour les habitants. geneviève labrie, du département de biologie de l’uqam, a effectué une étude sur ces bestioles. au japon dans sa région d’origine, la coccinelle asiatique hiberne à l’extérieur. « en amérique du nord, elle cherche un endroit sec où se réfugier pour éviter l’humidité et la noyade, lors du dégel » explique geneviève labrie. pourtant, harmonia axyridis possède les mêmes protections contre le froid que les autres coccinelles et n’a ni plus ni moins de réserves de graisse. mais elle préfère les températures élevées des maisons où elle en arrive à coloniser les murs et les fenêtres par milliers. féconde et vorace, la coccinelle asiatique a été importée aux etats-unis au début du siècle pour la lutte biologique contre les pucerons. les premiers spécimens sont apparus au québec à frelishburg dans les vergers et sont montés depuis jusqu’au 50ème parallèle. utile au départ, l’espèce est maintenant envahissante et nuisible car elle s’attaque aux larves et a déjà fait disparaître plusieurs autres types de coccinelles. « mais elle fait surtout le désespoir de ses hôtes québécois qui supportent de plus en plus mal la cohabitation » conclut geneviève labrie. d’autant plus que lorsqu’elles sont dérangées durant leur hibernation, les coccinelles asiatiques secrètent une substance allergène. des cas récents d’allergie viennent d’être notés au québec, et depuis quatre ans aux etats-unis. pas de commentaires » -- des tropiques au labo créé par jetaime le 03 oct 2006 | dans : sciences des chercheurs de l’université du maine tentent de cultiver des poissons tropicaux en laboratoire pour préserver les barrières de coraux. ces jeunes chercheurs tentent de reproduire en laboratoire les conditions optimales pour la reproduction et la croissance de plusieurs espèces de poissons tropicaux. pourquoi faire barboter des poissons en labo? parce que les consommateurs en veulent toujours plus pour leurs aquariums, ce qui menace les barrières de coraux près desquelles on va normalement chercher ces poissons. « actuellement, 95 % des poissons tropicaux destinés aux aquariums proviennent des océans », explique chatham callan, étudiant au doctorat au aquaculture research center de l’université du maine. plus de 1 200 espèces sont capturées et vendues commercialement. ces poissons proviennent surtout de l’indonésie, des philippines, des îles fiji et d’autres îles du pacifique. pour faciliter les prises, les pêcheurs utilisent le cyanure de sodium qui ralentit le déplacement des poissons, mais tue les coraux et de nombreux autres animaux des récifs. une fois en captivité, les poissons capturés ne survivent souvent pas très longtemps. pour protéger les coraux et les animaux qui y vivent, il faut cultiver les poissons en dehors de l’océan. déjà, grâce à de grands réservoirs d’eau salée, certains aquaculteurs ont trouvé le moyen de cultiver le poisson-clown, rendu célèbre par le dessin animé trouver nemo. pas de commentaires » -- des mannequins trop maigres créé par jetaime le 03 oct 2006 | dans : sciences en espagne, les filles trop maigrichonnes n’ont plus le droit de faire de défilés de mode. trouves-tu que les mannequins qui font les défilés de mode sont parfois presque squelettiques? le gouvernement espagnol, lui, trouve que oui. et il a décidé que trop c’est trop! la semaine dernière, il a interdit aux mannequins trop maigres de faire leur défilé lors de la semaine de la mode de madrid. les jeunes filles ont été pesées, puis on a calculé leur indice de masse corporelle (imc), une petite formule qui permet de savoir si on a un poids suffisant pour notre grandeur. attention, cela ne sert à rien de calculer ton propre imc si tu n’as pas encore 18 ans. on n’utilise cet indice que pour les personnes qui ont fini de grandir! tous les mannequins qui avaient un imc sous la normale n’ont pas eu le droit de monter sur l’estrade. le gouvernement a affirmé qu’il a posé ce geste pour protéger les jeunes filles espagnoles. a force de voir ces modèles de beauté véhiculés par la mode, beaucoup de filles veulent leur ressembler. mais ce n’est pas tellement bon pour la santé! des études montrent que les filles constamment exposées à des images de corps féminins d’une minceur impossible à atteindre risquent de faire une dépression, d’avoir une mauvaise estime de soi et développer de mauvaises habitudes alimentaires pouvant mener à l’anorexie ou à la boulimie. la moitié des filles de 8 à 10 ans se disent insatisfaites de leurs poids, même si elles sont tout à fait normales, estime la société canadienne de pédiatrie. voilà qui est inquiétant! il faut le répéter : les mannequins n’ont vraiment pas le poids d’une fille « normale ». et c’est de pire en pire. il y a 20 ans, les mannequins pesaient 8% de moins que la moyenne. aujourd’hui, elles pèsent 23% de moins. tu imagines : prends le poids d’une personne normale et enlève-lui presque le quart! cela peut avoir des conséquences parfois fatales : une mannequin de 22 ans de l’uruguay, obsédée par son poids, est morte de défaillance cardiaque au mois d’août dernier. cela faisait trois mois qu’elle ne mangeait que de la salade verte et du coke diète. un exemple à ne pas suivre… pas de commentaires » -- kamini, « rappeur rural » célèbre en quelques jours sur internet créé par jetaime le 03 oct 2006 | dans : people marly-gomont ( aisne ) (afp) – « je viens pas de la cité mais le +beat+ est bon/je viens pas de paname mais de marly-gomont »: avec un clip amateur sur internet , kamini, rappeur « rural », a connu rapidement la notoriété en racontant ses souvenirs de gamin noir dans un tout petit village de l’aisne. basket rouge, jean baggy et veste en cuir cintrée, bandeau noir dans les cheveux, kamini, 26 ans, a repris pour les besoins des médias le chemin de marly-gomont (423 habitants), « un petit patelin que personne ne connaît/même pas jean-pierre pernaut ». « marly-gomont est une chanson qui raconte ma vie », assure le rappeur, assis au pied de la belle maison picarde en briques rouges où son père d’origine congolaise avait installé son cabinet de médecin généraliste au rez-de-chaussée. au milieu des bocages, des vaches laitières et des églises fortifiées de la thiérache, le fils du docteur s’est fait traiter de « bamboula », « pépito » ou « la noiraude » à l’école, car « dans la bouche des enfants/réside bien souvent la vérité des parents », si l’on en croit sa chanson. « il n’y a pas de bitume/que des pâtures/ça n’empêche que j’ai croisé/pas mal d’ordures », ajoute le texte. les mots sont durs, mais le ton est sans violence ni rancune. le clip est même un petit bijou d’autodérision, dans lequel le chanteur promène sa silhouette urbaine et « branchouille » au milieu des veaux et des tracteurs, en rappant avec les agriculteurs! a l’origine, le clip, tourné avec une copine étudiante en audiovisuel, ne devait servir qu’à démarcher les grosses maisons de disques pour enregistrer un album, avec le soutien d’un petit label de lille , la plèbe. « une dizaine de jours après son envoi à des professionnels, il s’est retrouvé sur un forum. trois heures après, il y a déjà 25 commentaires: +génial+, +excellentissime+, +déjà culte+…la folie furieuse », résume le responsable de la plèbe, martin coulon, 32 ans. depuis, plus d’un million de personnes ont vu le clip sur www.kamini.fr ouvert le 21 septembre. une semaine plus tard, le rappeur des champs passait en prime time sur canal plus, sans oublier un reportage au 13h00 de tf1 de… jean-pierre pernaut. « beaucou